Projet Acting à Saint-Louis au Sénégal

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Projet Acting à Saint-Louis au Sénégal  

Située à 270 km de Dakar, la ville de Saint-Louis abrite le quartier des pêcheurs de Guet Ndar, considéré comme l’un des quartiers les plus denses de l’Afrique de l’Ouest. Avec ses 25 000 habitants, cette zone urbaine ne dispose pas de service d’assainissement adapté, entraînant ainsi des risques sanitaires et environnementaux importants. 

Le projet Acting a pour priorité la mise en place d’un service d’assainissement durable dans le quartier de Guet Ndar. 

Pour cela, plusieurs actions sont mises en oeuvre : 

  • réalisation des infrastructures d’assainissement desservant 13 000 personnes  
  • sensibilisation à l’hygiène et à l’environnement 
  • accompagnement des acteurs locaux à la gestion locale et durable de ces services

Le Projet Acting est mis en œuvre par l’Agence de Développement Communal (ADC) de Saint-Louis et le GRET, professionnel du développement solidaire, avec la participation de la commune de Saint-Louis et de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS).

Avec le soutien financié de l’Agence de l’Eau Seine Normandie, l’Union Européenne, le Conseil Départemental de l’Eure, le Ministère des Affaires Etrangères et du Développement International (MAEDI) et la Mairie de Saint-Louis.

Alimentation en eau de villages ruraux au Niger

L’association Niger Ma Zaada, soutenue par l’agence de l’eau Rhin-Meuse, s’engage depuis plus de 10 ans auprès des populations au Niger : forages d’eau potable, mise en place de toilettes, plantation d’arbres pour faciliter l’irrigation… Résultats : une baisse des maladies, une forte amélioration des conditions et de la qualité de vie et la mise en place d’une gestion locale de la ressource en eau, pour 4000 habitants de 7 villages !

Alimentation en eau de villages ruraux au Nige

L’association de solidarité internationale « l’Orme », basée à Rennes, a contribué en 2014, avec le soutien de l’agence de l’eau Loire Bretagne, à l’alimentation en eau potable de deux villages au Maroc (300 foyers) libérant ainsi les femmes de la « corvée d’eau ».

Ces heures “gagnées” enclenchent une nouvelle dynamique de développement dans les villages : alphabétisation, formation, nouvelles sources de revenus…

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